Gaston Racine (1917-2006)  De famille huguenote, il fut élevé dans un milieu très pieux, appartenant à une communauté issue du Réveil spirituel qui secoua une partie du protestantisme au dix-neuvième siècle. Converti au Christ en 1931, hors de son contexte familial. Arrêté en pleine jeunesse par la maladie, il doit apprendre durant de longues années, à l'École de la souffrance, à abandonner à ses plans et à ses projets les plus chers, pour se soumettre simplement à la volonté divine. Exerce depuis  70 ans un ministère évangélique dans des communautés diverses, dans des camps de jeunesse et dans des salles populaires sur différents continents.Il a exercé un ministère pastoral et d'enseignement biblique dans divers pays du monde, accueilli dans les églises les plus diverses, à la découverte et à l'expérience de l'unité du corps de Christ. Les assemblées de France, Belgique, Suisse et Italie ont fourni tout particulièrement de son enseignement.
Dès 1947, il ne dépend d'aucune église particulière. À Nice, la fondation de l'assemblée du Refuge le 1er dimanche de décembre 1950 a été le départ d'un riche témoignage qui fut en bénédiction à beaucoup. Ce témoignage se poursuit encore aujourd'hui. 
Habita Montréal depuis 1962. Après son mariage avec Eva Arendt, il crée les camps Mahanaïm destinés aux jeunes gens et jeunes filles de 18 à 30 ans. Ouvrage de 1984

Cet ouvrage est la réimpression intégrale au Canada, du texte original paru en  France en 1958, quelques années avant l'ouverture du Concile Vatican II. Dans ces messages qui restent toujours actuels, le lecteur est mis en présence non  d'une doctrine, mais d'une Personne : JÉSUS, pris au sérieux, Jésus cru et obéit à  la lettre, parce qu'aimé d'un grand amour. Le Réveil ou le Renouveau adopté sous l'un ou l'autre de ses aspects : sanctifica tion des fidèles, unités des croyants, ou conversion des pécheurs, n'est pas quelque chose  , mais «quelqu'un», le CHRIST qui est venu, qui est en nous, qui est là tout  près, mais que nous ne saisissons pas, ou que nous ne voulons pas connaître comme  il est.

Ce n'est pas : « Qui nous fera venir d'Amérique ou d'Afrique, de l'Inde ou du  Thibet ? »  Ni même : « Qui nous fera descendre des cieux ? » . Car il   est descendu. II n'est pas à des hauteurs inaccessibles. Il est plus bas que nous, et si nous ne Le  voyons plus, c'est que nous sommes montés trop haut. C'est avec les petits, les humbles, les pauvres, les affamés, les sans-logis, les mala des, les prisonniers que Jésus est encore.

Que la foi qui nous a sauvés, en nous avenant à accepter la grâce de Dieu. nous  stimule aujourd'hui à comprendre et à faire sans délai Sa volonté auprès de tous les  hommes.


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